Démarches administratives suite à un décès

Retrouvez ici les principales démarches à effectuer après le décès d’un proche, pour vous accompagner dans cette période difficile.

La perte d’un proche est un moment douloureux, auquel s’ajoute un certain nombre de démarches administratives indispensables. Certaines doivent être accomplies rapidement, dans les 24 à 48 heures, tandis que d’autres peuvent être effectuées dans les semaines qui suivent. Cette rubrique vous aide à identifier les étapes essentielles pour vous accompagner dans cette période difficile.

Déclarer le décès

Le décès doit être déclaré à la mairie du lieu où il a eu lieu, dans les 24 heures suivant la constatation. Cette démarche peut être effectuée par un proche ou par l’entreprise de pompes funèbres. Un acte de décès vous sera alors remis, document nécessaire pour la suite des démarches.

Organiser les obsèques

Les obsèques doivent avoir lieu dans les six jours ouvrables après le décès. Elles peuvent être organisées par les proches ou confiées à une entreprise de pompes funèbres. Le choix entre inhumation et crémation doit être respectueux des volontés du défunt, si elles sont connues.

Déclaration de décès, obsèques et sépulture

Fiche pratique

Vaccinations contre l'hépatite A et B

Vérifié le 12/09/2023 - Direction de l'information légale et administrative (Première ministre)

Les hépatites virales sont des maladies graves en raison des risques de complication et d'évolution de la maladie.

La vaccination permet une prévention efficace contre les hépatites A et B. Elle est recommandée pour certaines personnes et obligatoire dans certains cas.

Ces règles s'appliquent pour toute personne résidant en France quelle que soit sa nationalité.

Nous vous présentons les informations à connaître.

Règles générales

La vaccination contre l'hépatite A est recommandée pour les personnes suivantes :

  • Jeune accueilli dans les établissements et services pour l'enfance et la jeunesse handicapée
  • Personne atteinte de mucoviscidose
  • Personne atteinte de maladies du foie pouvant devenir chroniques (notamment l'hépatite B, l'hépatite C ou l'atteinte du foie due à une consommation excessive d'alcool)
  • Enfant à partir d'1 an, né de famille dont l'un des membres au moins est originaire d'un pays dont l'infection est fréquente et pouvant être amené à y séjourner
  • Homme ayant des relations sexuelles avec des hommes.

Règles autour d'une personne infectée par l'hépatite A

En présence d'un ou plusieurs cas d'hépatite A confirmés, la vaccination est recommandée pour les personnes suivantes :

  • Entourage familial d'une personne atteinte d'hépatite A (ou pour toute personne vivant sous le même toit) dans un délai maximal de 14 jours
  • Communauté de vie en situation d'hygiène précaire lorsqu’il existe un cas d’hépatite A.

Règles en milieu professionnel

La vaccination est recommandée pour les professionnels suivants à risque de contamination :

  • En charge d'enfants n'ayant pas atteint l'âge de la propreté (exemples : assistants maternels, personnels des crèches)
  • Travaillant dans des structures collectives d'accueil pour les personnes handicapées
  • Chargés du traitement des eaux usées et des égouts
  • Impliqués dans la préparation alimentaire en restauration collective (cantines).

  À savoir

Votre médecin traitant ou votre médecin du travail peut informer de la nécessité ou non de se faire vacciner.

Règles pour certains voyageurs

La vaccination est recommandée pour les voyageurs devant séjourner dans un pays où l'hygiène est précaire, particulièrement pour les personnes souffrant d'une maladie chronique du foie et de mucoviscidose.

Il en est de même chez les personnes greffées ou en attente de greffe et chez les personnes vivant avec le Sida (VIH).

Elle est recommandée dès l'âge de 1 an.

Connaître les zones du monde à risque d'hépatite A

Le risque de contracter une hépatite A est très élevé en Afrique, au Moyen-Orient, en Asie, en Amérique centrale et du Sud.

Vous devez consulter un médecin pour obtenir une ordonnance et ensuite acheter le vaccin en pharmacie.

La vaccination peut être faite chez le médecin ou dans un établissement public (dispensaire, centre de protection maternelle et infantile, centre de vaccination gratuit).

Votre mairie peut vous communiquer les adresses de ces organismes.

Où s’adresser ?

D'autres professionnels de santé (par exemple, une sage-femme) peuvent prescrire et administrer ce vaccin.

 À noter

Si vous faites vacciner votre enfant, il faut faire inscrire le vaccin sur son carnet de santé.

Coût du vaccin

Le vaccin contre l'hépatite A est remboursé à 65 % par l'assurance maladie pour les personnes suivantes :

  • Patient ou porteur d'une maladie chronique active du foie, notamment l'hépatite B et l'hépatite C
  • Patient atteint de mucoviscidose

  À savoir

Le montant restant est généralement remboursé par la mutuelle.

Coût de l'injection

L'injection du vaccin est payante, mais remboursée par la Sécurité sociale, lorsqu'elle est effectuée par :

  • Un médecin ou une sage femme (remboursement à 70 %)
  • Une infirmière (remboursement à 60 %).

  À savoir

La mutuelle peut aussi prendre en charge le reste.

L'injection du vaccin peut être prise en charge à 100 % pour les personnes atteintes de certaines affections de longue durée (ALD).

L'injection du vaccin est gratuite dans un établissement public (dispensaire, centre de protection maternelle et infantile, centre de vaccination gratuit).

Si vous constatez un effet indésirable sur l'état de santé, à la suite de la vaccination, vous pouvez le signaler sur le portail "Signalement santé " :

Service en ligne
Signalement santé

Accéder au service en ligne  

Ministère chargé de la santé

Règles générales

La vaccination contre l'hépatite B est obligatoire chez tous les nourrissons nés à partir du 1er janvier 2018 dès l'âge de 2 mois.

Elle est aussi recommandée, en rattrapage, chez tous les enfants ou adolescents jusqu'à l'âge de 15 ans inclus.

Règles particulières

Cette vaccination concerne aussi les personnes suivantes :

  • Enfant ou adolescent accueilli dans les services et institutions pour l’enfance et la jeunesse handicapées
  • Enfant d’âge préscolaire accueilli en collectivité (exemple : crèche)
  • Nouveau-né de mère porteuse de l’hépatite B, nouveau-né en Guyane ou à Mayotte
  • Enfant ou adulte accueilli dans les institutions psychiatriques
  • Personne ayant des relations sexuelles avec des partenaires multiples, exposée aux infections sexuellement transmissibles (IST) ou ayant une IST en cours ou récente
  • Toxicomane utilisant des drogues par voie intraveineuse ou intranasale
  • Voyageur dans les pays de moyenne ou de forte endémie
  • Personne amenée à résider en zones de moyenne ou de forte endémie
  • Personne pouvant être transfusée ou recevoir des produits dérivés du sang (hémophiles, dialysés, insuffisants rénaux...) ou recevoir une greffe d'organe ou de tissus
  • Personne de l’entourage d’une personne atteinte d’hépatite B aigüe ou chronique (personne vivant sous le même toit)
  • Partenaire sexuel d'une personne infectée par le virus de l'hépatite B ou porteuse chronique du virus
  • Détenu qui peut cumuler un certain nombre de facteurs d'exposition au virus de l'hépatite B
  • Personne souffrant d'une maladie chronique du foie
  • Personne infectée par le VIH ou le virus de l’hépatite C.

Règles en milieu professionnel

Les personnes qui, dans le cadre d'activités professionnelles ou bénévoles, peuvent être en contact direct avec des patients et/ou être exposées au sang et autres produits biologiques sont vaccinées. Par exemple : professionnels de santé, secouristes, gardiens de prison, éboueurs, égoutiers, policiers, tatoueurs, thanatopracteurs.

Ce contact peut aussi être indirect (manipulation et transport de dispositifs médicaux, de prélèvements biologiques, de linge, de déchets).

Vous devez consulter un médecin pour obtenir une ordonnance et ensuite acheter le vaccin en pharmacie.

La vaccination peut être faite chez le médecin ou dans un établissement public (dispensaire, centre de protection maternelle et infantile, centre de vaccination gratuit).

Votre mairie peut vous communiquer les adresses de ces organismes.

Où s’adresser ?

D'autres professionnels de santé (par exemple, une sage-femme) peuvent prescrire et administrer ce vaccin.

 À noter

Si vous faites vacciner votre enfant, il faut faire inscrire le vaccin sur son carnet de santé.

Coût du vaccin

Le vaccin acheté sur ordonnance contre l'hépatite B est remboursé à 65 % par l'Assurance maladie.

  À savoir

Le montant restant est généralement remboursé par la mutuelle.

Coût de l'injection

L'injection du vaccin est payante, mais remboursée par la Sécurité sociale, lorsqu'elle est effectuée par :

  • Un médecin ou une sage femme (remboursement à 70 %)
  • Une infirmière (remboursement à 60 %).

  À savoir

La mutuelle peut aussi prendre en charge le reste.

L'injection du vaccin peut être prise en charge à 100 % pour les personnes atteintes de certaines affections de longue durée (ALD).

L'injection du vaccin est gratuite dans un établissement public (dispensaire, centre de protection maternelle et infantile, centre de vaccination gratuit).

Si vous constatez un effet indésirable sur l'état de santé, à la suite de la vaccination, vous pouvez le signaler sur le portail "Signalement santé " :

Service en ligne
Signalement santé

Accéder au service en ligne  

Ministère chargé de la santé

Il n'existe pas de vaccin contre l'hépatite C.

Seules des analyses sanguines permettent de dépister le virus de l'hépatite C (VHC).

Informer les organismes

Dans les jours ou semaines qui suivent, il est important de prévenir :

  • la caisse de sécurité sociale (CPAM),

  • les mutuelles et assurances,

  • les banques,

  • les employeurs ou Pôle emploi,

  • les caisses de retraite,

  • les fournisseurs d’énergie, opérateurs téléphoniques, etc.

Des courriers ou formulaires spécifiques sont souvent nécessaires, accompagnés d’un acte de décès.

Demande d'acte de décès

Fiche pratique

Vaccinations contre l'hépatite A et B

Vérifié le 12/09/2023 - Direction de l'information légale et administrative (Première ministre)

Les hépatites virales sont des maladies graves en raison des risques de complication et d'évolution de la maladie.

La vaccination permet une prévention efficace contre les hépatites A et B. Elle est recommandée pour certaines personnes et obligatoire dans certains cas.

Ces règles s'appliquent pour toute personne résidant en France quelle que soit sa nationalité.

Nous vous présentons les informations à connaître.

Règles générales

La vaccination contre l'hépatite A est recommandée pour les personnes suivantes :

  • Jeune accueilli dans les établissements et services pour l'enfance et la jeunesse handicapée
  • Personne atteinte de mucoviscidose
  • Personne atteinte de maladies du foie pouvant devenir chroniques (notamment l'hépatite B, l'hépatite C ou l'atteinte du foie due à une consommation excessive d'alcool)
  • Enfant à partir d'1 an, né de famille dont l'un des membres au moins est originaire d'un pays dont l'infection est fréquente et pouvant être amené à y séjourner
  • Homme ayant des relations sexuelles avec des hommes.

Règles autour d'une personne infectée par l'hépatite A

En présence d'un ou plusieurs cas d'hépatite A confirmés, la vaccination est recommandée pour les personnes suivantes :

  • Entourage familial d'une personne atteinte d'hépatite A (ou pour toute personne vivant sous le même toit) dans un délai maximal de 14 jours
  • Communauté de vie en situation d'hygiène précaire lorsqu’il existe un cas d’hépatite A.

Règles en milieu professionnel

La vaccination est recommandée pour les professionnels suivants à risque de contamination :

  • En charge d'enfants n'ayant pas atteint l'âge de la propreté (exemples : assistants maternels, personnels des crèches)
  • Travaillant dans des structures collectives d'accueil pour les personnes handicapées
  • Chargés du traitement des eaux usées et des égouts
  • Impliqués dans la préparation alimentaire en restauration collective (cantines).

  À savoir

Votre médecin traitant ou votre médecin du travail peut informer de la nécessité ou non de se faire vacciner.

Règles pour certains voyageurs

La vaccination est recommandée pour les voyageurs devant séjourner dans un pays où l'hygiène est précaire, particulièrement pour les personnes souffrant d'une maladie chronique du foie et de mucoviscidose.

Il en est de même chez les personnes greffées ou en attente de greffe et chez les personnes vivant avec le Sida (VIH).

Elle est recommandée dès l'âge de 1 an.

Connaître les zones du monde à risque d'hépatite A

Le risque de contracter une hépatite A est très élevé en Afrique, au Moyen-Orient, en Asie, en Amérique centrale et du Sud.

Vous devez consulter un médecin pour obtenir une ordonnance et ensuite acheter le vaccin en pharmacie.

La vaccination peut être faite chez le médecin ou dans un établissement public (dispensaire, centre de protection maternelle et infantile, centre de vaccination gratuit).

Votre mairie peut vous communiquer les adresses de ces organismes.

Où s’adresser ?

D'autres professionnels de santé (par exemple, une sage-femme) peuvent prescrire et administrer ce vaccin.

 À noter

Si vous faites vacciner votre enfant, il faut faire inscrire le vaccin sur son carnet de santé.

Coût du vaccin

Le vaccin contre l'hépatite A est remboursé à 65 % par l'assurance maladie pour les personnes suivantes :

  • Patient ou porteur d'une maladie chronique active du foie, notamment l'hépatite B et l'hépatite C
  • Patient atteint de mucoviscidose

  À savoir

Le montant restant est généralement remboursé par la mutuelle.

Coût de l'injection

L'injection du vaccin est payante, mais remboursée par la Sécurité sociale, lorsqu'elle est effectuée par :

  • Un médecin ou une sage femme (remboursement à 70 %)
  • Une infirmière (remboursement à 60 %).

  À savoir

La mutuelle peut aussi prendre en charge le reste.

L'injection du vaccin peut être prise en charge à 100 % pour les personnes atteintes de certaines affections de longue durée (ALD).

L'injection du vaccin est gratuite dans un établissement public (dispensaire, centre de protection maternelle et infantile, centre de vaccination gratuit).

Si vous constatez un effet indésirable sur l'état de santé, à la suite de la vaccination, vous pouvez le signaler sur le portail "Signalement santé " :

Service en ligne
Signalement santé

Accéder au service en ligne  

Ministère chargé de la santé

Règles générales

La vaccination contre l'hépatite B est obligatoire chez tous les nourrissons nés à partir du 1er janvier 2018 dès l'âge de 2 mois.

Elle est aussi recommandée, en rattrapage, chez tous les enfants ou adolescents jusqu'à l'âge de 15 ans inclus.

Règles particulières

Cette vaccination concerne aussi les personnes suivantes :

  • Enfant ou adolescent accueilli dans les services et institutions pour l’enfance et la jeunesse handicapées
  • Enfant d’âge préscolaire accueilli en collectivité (exemple : crèche)
  • Nouveau-né de mère porteuse de l’hépatite B, nouveau-né en Guyane ou à Mayotte
  • Enfant ou adulte accueilli dans les institutions psychiatriques
  • Personne ayant des relations sexuelles avec des partenaires multiples, exposée aux infections sexuellement transmissibles (IST) ou ayant une IST en cours ou récente
  • Toxicomane utilisant des drogues par voie intraveineuse ou intranasale
  • Voyageur dans les pays de moyenne ou de forte endémie
  • Personne amenée à résider en zones de moyenne ou de forte endémie
  • Personne pouvant être transfusée ou recevoir des produits dérivés du sang (hémophiles, dialysés, insuffisants rénaux...) ou recevoir une greffe d'organe ou de tissus
  • Personne de l’entourage d’une personne atteinte d’hépatite B aigüe ou chronique (personne vivant sous le même toit)
  • Partenaire sexuel d'une personne infectée par le virus de l'hépatite B ou porteuse chronique du virus
  • Détenu qui peut cumuler un certain nombre de facteurs d'exposition au virus de l'hépatite B
  • Personne souffrant d'une maladie chronique du foie
  • Personne infectée par le VIH ou le virus de l’hépatite C.

Règles en milieu professionnel

Les personnes qui, dans le cadre d'activités professionnelles ou bénévoles, peuvent être en contact direct avec des patients et/ou être exposées au sang et autres produits biologiques sont vaccinées. Par exemple : professionnels de santé, secouristes, gardiens de prison, éboueurs, égoutiers, policiers, tatoueurs, thanatopracteurs.

Ce contact peut aussi être indirect (manipulation et transport de dispositifs médicaux, de prélèvements biologiques, de linge, de déchets).

Vous devez consulter un médecin pour obtenir une ordonnance et ensuite acheter le vaccin en pharmacie.

La vaccination peut être faite chez le médecin ou dans un établissement public (dispensaire, centre de protection maternelle et infantile, centre de vaccination gratuit).

Votre mairie peut vous communiquer les adresses de ces organismes.

Où s’adresser ?

D'autres professionnels de santé (par exemple, une sage-femme) peuvent prescrire et administrer ce vaccin.

 À noter

Si vous faites vacciner votre enfant, il faut faire inscrire le vaccin sur son carnet de santé.

Coût du vaccin

Le vaccin acheté sur ordonnance contre l'hépatite B est remboursé à 65 % par l'Assurance maladie.

  À savoir

Le montant restant est généralement remboursé par la mutuelle.

Coût de l'injection

L'injection du vaccin est payante, mais remboursée par la Sécurité sociale, lorsqu'elle est effectuée par :

  • Un médecin ou une sage femme (remboursement à 70 %)
  • Une infirmière (remboursement à 60 %).

  À savoir

La mutuelle peut aussi prendre en charge le reste.

L'injection du vaccin peut être prise en charge à 100 % pour les personnes atteintes de certaines affections de longue durée (ALD).

L'injection du vaccin est gratuite dans un établissement public (dispensaire, centre de protection maternelle et infantile, centre de vaccination gratuit).

Si vous constatez un effet indésirable sur l'état de santé, à la suite de la vaccination, vous pouvez le signaler sur le portail "Signalement santé " :

Service en ligne
Signalement santé

Accéder au service en ligne  

Ministère chargé de la santé

Il n'existe pas de vaccin contre l'hépatite C.

Seules des analyses sanguines permettent de dépister le virus de l'hépatite C (VHC).

Faire valoir les droits

Les proches peuvent avoir droit à :

  • une pension de réversion (pour le conjoint survivant),

  • un capital décès (pour certaines situations),

  • des aides aux frais d’obsèques,

  • la mise en place ou la révision de droits sociaux (APL, RSA, etc.).

Gérer la succession

Si le défunt possédait des biens, une succession doit être ouverte. Elle est généralement gérée par un notaire, notamment en présence d’un testament, de biens immobiliers ou d’héritiers multiples. Le notaire se chargera de dresser l’acte de notoriété, de faire l’inventaire et de procéder au partage.